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Vivre concrètement nos valeurs : le feel good process

  • 07.09.2020

S’assurer que chacun se porte bien et ainsi renforcer notre cohésion d’équipe : voilà l’objectif du feel good process.

Incarner ses valeurs : comment s’assurer que chacun se porte bien ?

Il est une réunion à laquelle les développeurs IT de Values sont particulièrement attachés : le feel good process. Chaque vendredi, chacun fait un point sur sa semaine en revenant à la fois sur des aspects professionnels et personnels. Libre à chacun toutefois de rentrer dans les détails ou pas. Avant le confinement, l’équipe de Nevers avait pour habitude de se prendre un café, de s’installer confortablement dans la salle de réunion. S’il n’y a pas d’ordre ni de temps établi, chacun s’exprimait en général environ 2 minutes. Une fois que le dernier avait fini de s’exprimer, les autres avaient tout le loisir de réagir. On engage une discussion à propos de ce qui vient d’être dit puis une tierce personne prenait la parole et ainsi de suite. C’est un formidable moyen de partager un moment convivial, de discuter d’autres thématiques que le travail. C’est comme cela que l’on apprend à mieux se connaître.

Les valeurs au quotidien en télétravail

« En fait, le feel good, c’est autant dans la parole que dans l’analyse de ce que disent les autres. » résume Quentin (De). C’est un échange, ce n’est pas une suite de monologues. Il est ainsi assez aisé d’identifier si quelqu’un ne se sent pas bien et d’essayer de la réconforter. Ce qui n’est pas tout à fait pareil lorsque l’on est devant un écran. Renaud, trouve ces réunions « très importantes ». Il a mis en avant dès le début du confinement l’attachement qu’il leur porte. C’est sous son impulsion qu’elles ont été maintenues pendant le confinement. Il rejoignait en cela l’avis général. Les réunions ont toutes été maintenues comme prévu, le vendredi matin. Même si le concept reste le même, le contexte change. Ce passage au « feel good virtuel » a quelque peu changé la donne.

Il est, selon le ressenti de Renaud, qui pilote les réunions, plus difficile de ressentir l’état d’esprit de chacun. Certains n’ont pas de caméra. Il y a surtout une grande différence entre s’adresser à un écran d’ordinateur et échanger directement. D’autre part, si tout le monde était présent à chaque réunion à l’inkub, certains peuvent désormais être tentés de se concentrer naturellement sur la réalisation d’un projet, au détriment de la réunion feel good.

Renforcer la cohésion d’équipe

Le sens de ces réunions n’a toutefois pas changé. Malgré la distance, ces réunions peremettent de garder le contact, de prendre des nouvelles tout en avançant sur différents projets.  « C’est agréable d’entendre le bonheur des gens et d’essayer de trouver des solutions quand ça va moins bien. » estime Quentin (De). C’est selon Corentin (Mé) une réunion aussi importante que le coffee break quotidien. Elle garde la particularité de « mélanger l’aspect professionnel et personnel. » Ces réunions, de l’avis général, créent ont permis à ceux qui ont été en activité partielle de garder un lien.  « Le fait de savoir ce qu’il se passe, ce que fait chacun, comment les projets avancent, c’est vraiment important pour moi » témoigne Corentin (Me). Renaud a lui aussi voulu rester en contact avec ses collègues, même lorsqu’il a pris ses vacances ! Le feel good process, c’est donc un moment particulier qui unit et renforce encore davantage les liens, notamment dans les moments plus complexes, que traverse l’économie actuellement.

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