Accueil >> Blog >> Corentin, un éternel optimiste

Corentin, un éternel optimiste

  • 17.07.2020

Corentin est l’un des trois nouveaux développeurs informatique qui ont rejoint l’équipe du centre IT de Nevers au mois de septembre dernier.

Une passion pour l’informatique et le développement

Humour, jovialité et praticité. Telle est la règle de trois de Corentin. Humour car il parvient toujours à nous faire rire. Jovialité car il considère que « tant qu’on est là, autant s’amuser. » Praticité enfin car Corentin a toujours préféré la pratique à la théorie. Il a pourtant dans un premier temps suivi un cursus général scientifique au lycée, avant de se tourner vers un bac technologique, réalisant que celui-ci lui était davantage adapté. « J’ai fait un stage dans un autre lycée en filière technologique et ça m’a bien plu donc je me suis réorienté et j’ai fait une deuxième première en filière technologique. » Il avait alors le choix entre trois spécialités : électronique, électricité ou mécanique. Il a choisi la première et ne le regrette pas, bien au contraire ! C’est à ce moment-là que son intérêt pour l’électronique et le bricolage s’est développé. « J’ai toujours été intéressé par tout ce qui est manuel, comprendre le fonctionnement et l’utilité de divers objets » explique-t-il.

Au gré de son apprentissage, il a cultivé une passion spécifique pour l’informatique et le développement. C’est pourquoi, directement après le bac, il a intégré l’Ecole Supérieure d’Informatique (CS2I), à Nevers, par laquelle la plupart de nos développeurs sont passés. « C’est une formation qui se fait en deux parties : une licence de trois ans et un master. J’ai pu faire 3 années d’apprentissage au total, de la troisième à la cinquième année. » Durant ces trois années, il a travaillé pour le conseil départemental de la Nièvre. « J’ai travaillé sur plusieurs problématiques, allant de la robotique à l’accompagnement des utilisateurs. J’ai travaillé dans un Fab Lab (laboratoire de fabrication financé par le conseil départemental). Il y a toutes sortes de machines numériques : des imprimantes 3D, des coupeuses laser, des brodeuses numériques etc. Le but, c’est que n’importe quelle personne peut venir dans le lieu et avoir l’aide dont elle a besoin pour mener à bien son projet. » explicite-t-il.  Il a particulièrement apprécié ces trois années, qui lui ont permis de concilier études et emplois.

L’intégration chez Values au sein d’une nouvelle équipe de développement

Lorsque Corentin termina ses études, il n’eut aucun souci pour trouver un emploi. Il ne resta que trois jours sans emploi puis fut contacté par Quentin (De) pour rejoindre la belle équipe de développeurs de l’inkub. « J’ai eu de la chance que la fin de mes études se cale bien par rapport au moment où Values avait besoin de nouveaux développeurs » estime-t-il. Il a ainsi rejoint Values en septembre 2019 avec Quentin (Bou) et Renaud. Les trois nouveaux développeurs étaient d’ailleurs dans la même promotion au CS2I avec Julien ! Il raconte n’avoir rencontré aucun problème pour s’intégrer à l’équipe. Cela s’explique selon lui par le fait qu’il avait déjà vu la plupart des développeurs au CS2I. Il a de surcroît apprécié que chacun soit à l’écoute, accueillant, bienveillant et soudés par des valeurs communes.

Environ sept mois après son arrivée, l’épidémie due au Covid-19 l’a malheureusement contraint suspendre son activité, le temps que le projet sur lequel il devait monter ne soit relancé. Cela lui laisse néanmoins plus de temps pour profiter de ses autres passions : le bricolage, la modélisation et l’impression 3D. Il en a profité pour produire des oreilles d’Astérix, qu’il a accrochées à son casque et a pu réparer son vélo. Mais, même s’il s’occupe et essaye de garder un rythme en se connectant tous les matins au coffee break, il commence à trouver le temps long et espère pouvoir reprendre son activité bientôt. « C’est difficile de se projeter alors qu’on a une inconnue comme ça. » admet-il. Corentin espère, comme chacun, que la France ne connaîtra pas le sort de certains de ses voisins européens, contraints de reconfiner une partie de leurs territoires pour endiguer la seconde vague épidémique que ceux-ci subissent. Malgré ses craintes, il garde espoir.

Cet article vous a plu ? Partagez-le !